Le 27 septembre 2010, un billet intéressant intitulé Le bonheur au travail rédigé par Christian Lamontagne de Passeport Santé me porta à la réflexion. Bonheur et travail: Concept intéressant que de rallier ces deux mots côte à côte.Nous, les travailleurs autonomes, sommes responsables de notre bonheur au travail. Nous sommes nos propres patrons et nous nous accordons nos privilèges et nos restrictions. Fatiguée, je m’accorde un repos bien mérité, voir même un massage pour me ressourcer. Je sais que mon corps et mon esprit sont plus productifs lorsque reposés. Je sais que je serai plus présente à mon travail puisque je me serai défaite des tensions qui m’empêchaient d’être optimale. Je me serai créé un environnement de travail propice à mon indice du bonheur.Mais qu’en est-il des employés d’entreprises privés et de ceux de la fonction publique? Sont-ils vraiment heureux dans leur environnement de travail?Pierre Côté, fait part des résultats d’une recherche fait par l’IRB (indice relatif au bonheur) sur le bonheur au travail. Le pire domaine d’emploi en ce qui a trait au bonheur au travail est la fonction publique. Pas surprenant! Les fonctionnaires sont tellement surveillés par les contribuables. Coupures budgétaires et crise économique oblige! Pas question d’investir dans le bonheur au travail de ces derniers. Ce serait très mal vu. Je peux vous en parler, mon conjoint est fonctionnaire. Quel scandale ce serait d’oser se se faire masser au travail! Les médias et les contribuables seraient les premiers à les pointer du doigt.Pourtant, de plus en plus d’entreprises privées investissent dans le bonheur au travail sous toutes ses formes. Pourquoi? Parce qu’elles ont compris la rentabilité de cet investissement à bien de niveaux: rétention du personnel; accroissement de la productivité et du sentiment d’appartenance; etc.Alors, pourquoi la fonction publique n’aurait-elle pas droit a sa part du bonheur au travail, elle aussi? Après tout, nous contribuables n’aurions nous pas avantage à ce que la fonction publique retienne ses employés? N’aurions nous pas avantage a avoir des fonctionnaires plus productifs et plus présents?Je me rappelle du scandale qui sévit en avril 2010 lorsque 300 fonctionnaires profitèrent d’une journée bien-être et santé (yoga, étirements, relaxation et conférences sur l’alimentation et l’activité physique)Plusieurs contribuables virent d’un mauvais oeil s’envoler $20 000 /jour pour payer ce genre d’activité! Dilapidation? Peut-être. Mais faut-il pénaliser tous les employés de la fonction publique et les privercomplètement de moyens de prévention en santé, et ce, à coûts raisonnables?Il y a une peur réelle qui sévit dans la fonction publique quant aux dépenses effectuées à l’interne. Il y a eu des exagérations dans leurs dépenses et aujourd’hui, le balancier oscille vers l’opposé.Qu’on se le dise: La santé et le bonheur au travail sont essentiels. Si les employés du privé et les travailleurs autonomes ont droit a un peu de bonheur au travail, ne devrait-il pas en être ainsi pour ceux de la fonction publique?Oui. Le bonheur au travail …c’est possible!Et à un coût très abordable pour tous.
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